La
régression d'un état confusionnel aigu
(altération fluctuante de la conscience), l'existence de
difficultés relationnelles et/ou de communication
altèrent souvent l'humeur d'un résident. Seule,
la prise en compte de ces situations permet une réelle
compréhension du problème.
- Revoir le dossier pour préciser
si l'apparition ou l'aggravation de symptômes cognitifs ou de
la qualité de communication est consécutive au
début d'un traitement (p. ex., médicaments).
- Rechercher si le
résident prend un quelconque produit susceptible de modifier
l'humeur, tels que : psychotropes, antihypertenseurs, tels que
clonidine, guanéthidine, methyldopa, réserpine,
cimetidine, agents cytotoxiques, digitaliques, immunosuppresseurs,
sédatifs, stéroïdes ou stimulants.