À ce
stade, l'équipe
peut passer en revue les points suivants :
- Les facteurs émotionnels,
sociaux et/ou environnementaux jouent-ils un rôle important ?
- Si le résident
ne mange pas, cela est-il dû à un
problème d'humeur réversible, à un
problème de sa personnalité de base, à
une réaction négative à
l'environnement et à l'atmosphère des repas, ou
à une déficience neurologique telle qu'un trouble
de la déglutition ou l'impossibilité de
coordonner les mouvements des mains ?
- Pourrait-on
remédier à un problème
identifié par une meilleure formation de
l'équipe, par un essai de médication
antidépressive, par l'appel à un
ergothérapeute, par un programme d'assistance ?
- Si des causes ne sont pas
identifiées, quelles complications cliniques
réversibles peuvent-elles être prévues
à l'approche de la mort (par ex : fécalomes,
infection urinaire, diarrhée, fièvre, douleur,
escarres) ?
- Quelles interventions sont-elles ou
pourraient-elles être mises en oeuvre pour
atténuer ces complications ?