I.- Odeurs éthérées
(surtout éthers,
la série des fruits de Rimmel).
II.- Odeurs aromatiques (terpènes, camphres, et les
séries des épices, herbacée,
rosacée et
amande ; les types chimiques sont bien
déterminés:
cinéol, engénol, anéthol,
géraniol,
benzaldéhyde).
III. - Les odeurs balsamiques (surtout des aldéhydes. Ies
séries jasmin, violette et balsamique de Rimmel, avec les
types chimiques : terpinéol, ionone, vanilline).
IV. - Les odeurs ambrosiaques (ambre et musc).
V. - Les odeurs aliacées, avec le groupe cacodylique (assa
fÏtida, ichthyol, etc.).
VI. - Les odeurs empyreumatiques.
VII. - Les odeurs valérianacées (les odores
hircint de
Linné, le groupe capryle, en grande partie
composé
d'odeurs sexuelles).
VIII. - Les odeurs narcotiques (les odores tetri de
Linné).
IX. - Les puanteurs.
(On
trouvera un mémoire de valeur, Revue
générale sur les sensations olfactives par J.
Passy,
l'autorité française principale sur ce terrain,
dans le
second volume dc L'Année psychologique, 1895. Dans le
cinquième volume de la même publication (pour
1898),
Zwaardemaker présente un résumé
complet de ses
travaux et de son opinion : Les sensations olfactives, leurs
combinaisons et leurs compensations. - Il y a un
résumé
utile, mais avec moins d'autorité, dans un petit volume de
la
série « Actualités médicales
»: Dr
Collet L'Odorat et ses troubles, 1904. - Dans un petit livre :
Wegweiser einer Psychologie des Geruches, 1894, Giessler a
cherché à déterminer une psychologie
de l'odorat
mais son esquisse ne peut être regardée que comme
une
tentative provisoire (N. D. A.)).