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P
- PARDONNEZ-MOI
Le pardon commence où s'arrête la rancune
Il prend tout son sens quand il se mêle à
l'amertume
Il nécessite du courage,
Déchire mais pourtant soulage
Anéanti les outrages
Illumine les visages
Pardonnez-moi
Mes faiblesses, mes faux-pas
Mais des erreurs,
Qui n'en fait pas ?
Mes silences, mes absences
Ma violence, mon arrogance
Quant à la rancune, elle ronge
Trouble même les songes
Ellle réclame une sentence
Suggère la vengeance
La rancune flirte avec l'injustice
Elle tente d'assassiner
Les quelque liens qui lui résistent
Prisonnière du passé,
Elle vient hanter le présent
Pourquoi nos coeurs sont endurcis
Comme si l'on avait mis l'amour en sursis,
Comme si l'on ignorait que le temps nous chasse,
Souvent nous dépasse
Mais qu'est-ce qu'il nous reste
Quand ceux qui nous ont blessé,
Ceux qu'on croit détester,
Sans jamais cesser d'aimer
Un jour disparaissent
Nos regrets, nos remords, nos douleurs et nos larmes
Ne pourront jamais les ranimer
- Parlez-moi d'amour
- Redites-moi des choses tendres
- Votre beau discours
- Mon coeur n'est pas las de l'entendre
- Pourvu que toujours
- Vous répétiez ces mots
suprêmes :
- Je vous aime
- 1
- Vous savez bien
- Que dans le fond, je n'en crois rien
- Mais cependant, je veux encore
- Écouter ces mots que j'adore.
- Votre voix, aux sons caressant
- Qui les murmure, en frémissant,
- Me berce de sa belle histoire
- Et malgré moi, je veux y croire.
-
- Parlez-moi d'amour
- Redites-moi des choses tendres
- Votre beau discours
- Mon coeur n'est pas las de l'entendre
- Pourvu que toujours
- Vous répétiez ces mots
suprêmes :
- Je vous aime
- 2
- Il est si doux,
- Mon cher trésor, d'être un peu fou
- La vie est parfois trop amère
- Si l'on ne croit pas aux chimères.
- Le chagrin est vite apaisé,
- Et se console d'un baiser ;
- Du coeur, on guérit la blessure
- Par un serment qui le rassure.
-
- Parlez-moi d'amour
- Redites-moi des choses tendres
- Votre beau discours
- Mon coeur n'est pas las de l'entendre
- Pourvu que toujours
- Vous répétiez ces mots
suprêmes :
- Je vous aime
- 1
- Passant par Paris,
- Vidant la bouteille. (bis par le chÏur)
- Un de mes amis, me dit à l'oreille.
- ChÏur :
- Bon, Bon, Bon,
- Solo :
- Le bon vin m'endort,
- L'amour me réveille.
- Bis par le chÏur :
- Le bon vin m'endort,
- L'amour me réveille.
- 2
- Un de mes amis,
- Me dit à l'oreille :
- Jean prends garde à toi,
- L'on courtis' ta belle.
- 3
- (Reprendre les deux derniers vers)
- Jean prends garde à toi,
- L'on courtis' ta belle.
- Courtis' qui voudra,
- Je me fie en elle.
- 4
- (Reprendre les deux derniers vers)
- J'ai eu de son coeur,
- La fleur la plus belle.
- 5
- Dans un beau lit blanc,
- Bordé de dentelles.
- 6
- J'ai eu trois garçons,
- Tous trois capitaines.
- 7
- L'un est à Bordeaux,
- L'autre à la Rochelle.
- 8
- L' plus jeune à Paris,
- Courtisant les belles.
- 9
- Et l'père est ici
- Qui tire sur la ficelle.
- Que sont mes amis devenus
- Que j'avais de si près tenus
- Et tant aimés
- Ils ont été trop
clairsemés
- Je crois le vent les a ôtés
- L'amour est morte
- 1
- Ce sont amis que vent emporte
- Et il ventait devant ma porte
- Les emporta
- Avec le temps qu'arbre défeuille
- Et qu'il ne reste en branche feuille
- Qui n'aille à terre
- Avec pauvreté qui me terre
- Et de partout me faire la guerre
- L'amour est morte
- Ne convient pas que vous raconte
- Comment je me suis mis à honte
- En quelle manière
-
- Que sont mes amis devenus
- Que j'avais de si près tenus
- Et tant aimés
- Ils ont été trop
clairsemés
- Je crois le vent les a ôtés
- L'amour est morte
- 2
- Le mal ne sait pas seul venir
- Tout ce qui m'était à venir
- M'est advenu
- Pauvre sens et pauvre mémoire
- M'a Dieu donné, le roi de gloire
- Et pauvre rente
- Et droit au cul quand bise vente
- Le vent me vient, le vent m'évente
- L'amour est morte
- Ce sont amis que vent emporte
- Et il ventait devant ma porte
- Les emporta
- Les emporta
-
- Léo
Ferré, années 70, sur un texte de Rutebeuf
poéte né vers 1285
Perrine était
servante {2x}
Chez Monsieur le Curé, digue donda dondaine
Chez Monsieur le Curé, digue donda dondé !
- 2. Son amant vint la vouère {2x}
Un soir après l'dîner...
3. Perrine, ô ma Perrine {2x}
J'voudrais bien t'embrasser...
4. Oh ! grand nigaud qu't'es bête {2x}
Ça s'fait sans s'demander !...
5. V'la M'sieur l'curé qu'arrive {2x}
Où j'va t'y bien m'cacher ? ...
6. Cache-toi dedans la huche ! {2x}
I' n'saura pas t'trouver ! ...
7. Il y resta six s'maines {2x}
Elle l'avait oublié ! ...
8. Au bout de six semaines {2x}
Les rats l'avaient bouffé ! ...
9. Ils avaient rongé son crâne {2x}
Et puis tous les doigts de pied ...
10. On fit creuser son crâne {2x}
Pour faire un bénitier...
11. On fit monter ses jambes {2x}
Pour faire deux chandeliers...
12. Voila la triste histoire {2x}
D'un jeune homme à marier...
13. Qu'allait trop voir les filles {2x}
Le soir après l'dîner !
- C'est la belle nuit de Noël,
- La neige étend son manteau blanc,
- Et les yeux levés vers le ciel,
- À genoux, les petits enfants,
- Avant de fermer leurs paupières,
- Font une dernière prière.
-
- Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel
- Avec tes jouets par milliers,
- N'oublie pas mon petit soulier.
- Mais avant de partir, il faudra bien te couvrir,
- Dehors tu vas avoir très froid,
- C'est un peu à cause de moi.
- Il me tarde tant que le jour se lève
- Pour voir si tu m'as apporté
- Tous ces beaux joujoux que je vois en rêve
- Et que je t'ai commandés.
- Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel
- Avec tes jouets par milliers,
- N'oublie pas mon petit soulier.
- 2
- Le marchand de sable est passé,
- Les enfants vont faire dodo
- Et tu vas pouvoir commencer
- Avec ta hotte sur le dos,
- Au son des cloches des églises
- Ta distribution de surprises ;
- Et quand tu seras sur ton beau nuage
- Viens d'abord sur notre maison,
- Je n'ai pas été tous les jours
très sage
- Mais j'en demande pardon !
-
- Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel
- Avec tes jouets par milliers,
- N'oublie pas mon petit soulier.
- Mais avant de partir, il faudra bien te couvrir,
- Dehors tu vas avoir très froid,
- C'est un peu à cause de moi.
- Il me tarde tant que le jour se lève
- Pour voir si tu m'as apporté
- Tous ces beaux joujoux que je vois en rêve
- Et que je t'ai commandés.
- Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel
- Avec tes jouets par milliers,
- N'oublie pas mon petit soulier.
-
- Petit papa Noël ! ...
-
- Tino Rossi,
Années 1950
- PETITE SOEUR
Petite soeur,
Je connais ta peine et ta douleur,
Les places qu'elles prennent dans ton coeur,
J'étais la même petite soeur,
Je te vois,
Regarder là par la fenêtre,
Comme si c'était moi,
Comme si j'étais dnas ta tête,
Crois-moi petite soeur,
Le silence et le froid,
Je connais par coeur,
J'y suis passée avant toi,
Je te vois attendre,
Attendre que tourne ta chance,
L'âge tendre,
Dans l'indifférence,
Et tu refais la liste,
De ce qui ne va pas,
Tout n'est pas si triste,
Tu te dis que c'est déjà ça,
Petite soeur,
Je connais ta peine et ta douleur,
Parce que j'avais la même dans mon coeur,
C'est toi et moi petite soeur,
Toi et moi petite soeur,
Petite soeur,
Je sais comme ça brûle à
l'intérieur,
J'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs,
C'est toi et moi petite soeur,
Toi et moi petite soeur,
Petite,
Essuie les larmes sur ta joue,
La vie est ainsi,
Parfois on prend des coups,
Mais on se relève,
Plus fort et plus fier,
On s'accroche à ses rêves,
Et on passe les frontières.
Essuie tes larmes,
Pleurer ça sert à quoi ?
La vie est ainsi,
Un jour ça passera,
Passent les peines d'amour,
Celles qui font douter de soi,
Les mauvais discours,
Tout ça s'effacera.
Petite soeur,
Je sais comme ça brûle à
l'intérieur,
J'ai eu le temps d'apprendre de mes erreurs,
C'est toi et moi petite soeur,
Toi et moi petite soeur.
- PIROUETTE,
CACAHOUÈTE
Il était un petit homme
Qui avait une drôle de maison
Qui avait une drôle de maison.
Sa maison est en carton
Ses escaliers sont en papier.
Le facteur y est monté
Il s'est cassé le bout du nez.
On lui a raccommodé,
Avec du joli fil doré.
Le beau fil s'est cassé
Le bout du nez, s'est envolé.
Un avion à réaction
A rattrapé le bout du nez.
Mon histoire est terminée
Messieurs mesdames, applaudissez.
- PLAISIR D'AMOUR
- Plaisir d'arnour ne dure qu'un moment,
- Chagrin d'amour dure toute la vie.
- 1.
- J'ai tout quitté pour l'ingrate Sylvie,
- Elle me quitte et prend un autre amant.
-
- Plaisir d'arnour ne dure qu'un moment,
- Chagrin d'amour dure toute la vie.
- 2.
- Tant que cette eau coulera doucement,
- Vers ce ruisseau qui borde la prairie.
-
- Plaisir d'arnour ne dure qu'un moment,
- Chagrin d'amour dure toute la vie.
- 3.
- Je t'aimerai me répétait Sylvie
- L'eau coule encore, elle a changé pourtant.
-
- Plaisir d'arnour ne dure qu'un moment,
- Chagrin d'amour dure toute la vie.
-
- Cette chanson est
tirée d'une nouvelle écrite par Florian
(1755-1794), La
Célestine.
- Florian, natif de
Sauve, dans le Gard, était le protégé
de Voltaire. Fabuliste habile et conteur brillant, il fut
élu à l'Académie Française
en 1788.
- Mais c'est
grâce à Martini (musicien officiel de Louis XV
jusqu'à Louis XVIII en passant par la Révolution
et l'Empire !) qui avait été charmé
par la nouvelle, que le texte fut mis en musique en 1785.
- Cette romance
eut un énorme succès aussi bien dans les salons
que dans les milieux populaires et Hector Berlioz en fera un
arrangement pour orchestre symphonique en 1859. Tous les
opéras de Martini sont tombés dans l'oubli, seul
cet "amusement" a franchi l'épreuve du temps.
Vanité des vanités, tout n'est que
vanité !
- Il était une bergère,
- Et ron et ron, petit patapon,
- Il était une bergère
- Qui gardait ses moutons. (bis)
-
- Frères Jacques, frère Jacques,
- Dormez-vous?
- Dormez-vous?
- Sonnez les matines,
- Sonnez les matines
- Dig, din, don, dig, din, don.
-
- Au clair de la lune mon ami Pierrot,
- Prête moi ta plume
- Pour écrire un mot.
- Ma chandelle est morte,
- Je n'ai plus de feu.
- Ouvre-moi ta porte
- Pour l'amour de Dieu.
-
- Malbrought s'en va-t-en guerre,
- Mironton, mironton, mirontaine
- Malbrought s'en va-t-en guerre,
- Ne sait quand reviendra. (bis)
- Il reviendra à Pâques
- Mironton, mironton, mirontaine
- Il reviendra à Pâques
- Ou à la Trinité. (bis)
-
- Sur le pont d'Avignon,
- On y danse, on y danse
- Sur le pont d'Avignon,
- On y danse tous en rond.
-
- C'est la mère Michel
- Qui a perdu son chat,
- Qui crie par la fenêtre,
- "Qui est-ce qui lui rendra"
- Compère Lustucru qui lui a répondu
- "Allez Mère Michel
- Votre chat n'est pas perdu."
-
- Le bon roi Dagobert
- Avait sa culotte à l'envers.
- Le grand Saint Eloi
- Lui dit " O mon Roi!
- Votre Majesté
- Est mal culottée.
- - C'est vrai lui dit le Roi,
- Je vais la remettre à l'endroit."
-
- J'attendrai ... le jour et la nuit,
- J'attendrai toujours ton retour.
- J'attendrai, car l'oiseau qui s'enfuit
- Vient chercher l'oubli dans son nid
- Le temps passe et court
- En battant tristement,
- Dans mon coeur plus lourd,
- Et pourtant j'attendrai ton retour.
-
- Parlez moi d'amour,
- Redites-moi des choses tendres.
- Votre beau discours,
- Mon coeur n'est pas las de l'entendre,
- Pourvu que toujours,
- Vous répétiez ces mots
suprêmes :
- Je vous aime.
-
- Reviens ! Veux-tu ?
- Ton absence a brisé ma vie,
- Aucune femme vois-tu
- N'a jamais pris la place en mon coeur, Amie.
- Reviens ! Veux-tu ?
- Car ma souffrance est infinie
- Je veux retrouver tout mon bonheur perdu
- Reviens, veux-tu.
-
- On a pas tous les jours vingt ans
- Ca n'arrive qu'une fois seulement
- Et quand vient l'heure de la vieillese
- On apprécie mieux la jeunesse.
- De ce beau temps si vite passé
- On n'en profite jamais assez
- Et, plus tard, on dit tristement :
- On n'a pas tous les jours vingt ans !
-
- C'est l'amour qui flotte dans l'air à la ronde,
- C'est l'amour qui console le pauvre monde
- C'est l'amour qui rend chaque jour la beauté
- C'est l'amour qui nous rendra la liberté.
-
- Je te sens dans mes bras si petite,
- Si petite auprès de moi,
- Que j'ai peur quand ton coeur bat trop vite
- De le briser entre mes doigts.
- Quand je vois qu'une peine t'agite,
- Je viens vite à ton secours.
- Tu te fais dans mes bras si petite,
- Si petite, ô mon amour.
- POT-POURRI DE
REFRAINS - 3 /4 -
-
- Voulez-vous danser grand-mère ?
- Voulez-vous danser grand-père ?
- Tout comme au bon vieux temps
- Quand vous aviez vingt ans.
- Sur un air qui vous rappelle
- Combien la vie était belle,
- Pour votre anniversaire,
- Voulez-vous danser grand-mère ?
-
- Une partie de pétanque,
- Ça fait plaisir.
- La boule part et se planque
- Comme à loisir
- Tu la vises et tu la manques
- Change ton tir !
- Une partie de pétanque,
- Ça fait plaisir.
-
- Le travail c'est la santé
- Rien faire c'est la conserver
- Les prisonniers du boulot
- Ne font pas de vieux os !
-
- On est heureux comm'un poisson dans l'eau
- Sur le plancher des vaches
- On peut guincher dans tous les caboulots
- Sur le plancher des vaches
- Le vin... les femmes on a tout ça
- Mais oui Madame, sur ce plancher là
- C'est presqu'un amiral le matelot
- Sur le plancher des vaches.
-
- Tout va très bien Madame la Marquise,
- Tout va très bien, tout va très bien.
- Pourtant il faut ... Il faut que je l'on vous dise
- On déplore un tout petit rien.
- Un incident , une bêtise,
- La mort de votre jument grise.
- Mais à part ça, Madame la Marquise
- Tout va très bien, tout va très bien.
-
- C'est la romance de Paris,
- Au coin des rues elle fleurit,
- Ca met au coeur des amoureux
- Un peu de rêve et de ciel bleu.
- Ce doux refrain de nos faubourgs,
- Parle si gentiment d'amour
- Que tout le monde en est épris,
- C'est la romance de Paris
-
- C'est aujourd'hui dimanche,
- Tiens ma jolie maman,
- Voici des roses blanches
- Que ton coeur aime tant.
- Va, quand je serai grand,
- J'achèterai au marchand
- Toutes les roses blanches
- Pour toi, jolie maman.
-
- Ah le petit vin blanc,
- Qu'on boit sous les tonnelles,
- Quand les filles sont belles
- Du côté de Nogent.
- Et puis de temps en temps,
- Un air de vieille romance
- Semble donner la cadence,
- Pour flirter, pour flirter,
- Dans les bois, dans les prés,
- Du côté, du côté
- Du côté de Nogent.
- Ce sera toujours pareil
- Tant qu'il y aura du soleil
- On verra les amants au printemps ,
- S'en aller pour flirter,
- Dans les bois, dans les prés,
- Du côté, du côté,
- Du côté de Nogent.
-
- Je revois les grands sombreros et les mantilles,
- J'entends des airs de fandango des
séguédilles,
- Que chantent les senoritas si brunes
- Quand luit sur la plaza, la lune.
- Je revois dans un boléro, sous la charmille,
- Des Carmens et des Figaros, dont les yeux brillent.
- Je sens revivre dans mon coeur
- En dépit des montagnes
- Le souvenir charmeur
- Ardent comme une fleur,
- d'Espagne.
- Ollé!
- Refrain:
- Il fait beau temps
- Je t'ai cueilli un cadeau
- Il fait beau temps
- Rien que pour toi maman
- C'est en été
- Que poussent les coquelicots
- Ils sont tout rouges
- Et y en a plein les champs
- 1
- Je vais les mettre dans un pot
- Pour qu'ils ne courbent pas le dos
- 2
- Pour toi maman je suis tombé
- Et je me suis tordu le pied
- 3
- Tu sais j'ai fait bien attention
- De ne pas prendre les boutons
- 4
- Tu vois maman
- J'ai rajouté quelques jolis épis de
blé
- 5
- Maman dis-moi pourquoi tu pleures
- Chaque fois que je te donne des fleurs
-
- Henri
Dés, années 80/90
- PRENDRE UN
ENFANT PAR LA MAIN
- Prendre un enfant par la main,
- Pour l'emmener vers demain,
- Pour lui donner la confiance en son pas,
- Prendre un enfant pour un roi.
- 2
- Prendre un enfant dans ses bras,
- Et pour la première fois,
- Sécher ses larmes en étouffant de
joie,
- Prendre un enfant dans ses bras.
- 3
- Prendre un enfant par le coeur,
- Pour soulager ses malheurs,
- Tout doucement sans parler, sans pudeur,
- Prendre un enfant sur son coeur.
- 4
- Prendre un enfant dans ses bras,
- Mais pour la première fois,
- Verser des larmes en étouffant sa joie,
- Prendre un enfant contre soi.
- 5
- Prendre un enfant par la main,
- Et lui chanter des refrains,
- Pour qu'il s'endorme à la tombée du
jour,
- Prendre un enfant par l'amour.
- 6
- Prendre un enfant comme il vient,
- Et consoler ses chagrins,
- Vivre sa vie des années puis soudain,
- Prendre un enfant par la main,
-
- En regardant tout au bout du chemin,
- Prendre un enfant pour le sien.
-
- UN ANCIEN
PAR LA MAIN
adaptation de « “Prendre un enfant par la
main” de Yves Duteil, par Alain Garin. Arrangement musical : Maryline Jaminon.
Avec l'aimable autorisation de monsieur Yves
Duteil, « éditions de
l’Écritoire » (Copyright1977)
Prendre un ancien par la main
À la croisee des chemins
Lui redonner la confiance en son pas
Prendre un ancien par le bras
Prendre un ancien par le cœur
Lui donner un peu de bonheur
De la vieillesse soulager ses malheurs
Prendre un ancien par le cœur
Prendre un ancien par la main
Et lui chanter des refrains
Qui lui rappellent sa jeunesse et sa vie
Être pour lui son ami
Prendre un ancien par l’amour
Pour embellir ses vieux jours
Être là quand il a besoin de toi
Prendre un ancien pour un roi
Prendre un ancien par la main
Et consoler ses chagrins
Lui donner l’amour dont il a besoin
Être pour lui un soutien
Prendre un ancien tel qu’il est
L’entourer de ton respect
L’aider a supporter le poids des ans
Prendre un ancien en l’aimant
En pensant que bientot viendra le jour ...
D’être, un ancien à son tour
Adaptation de « “Prendre un enfant par la
main” de Yves Duteil,
par Alain Garin. Arrangement musical : Maryline Jaminon.
Avec l'aimable autorisation de monsieur Yves Duteil,
« éditions de l’Écritoire »
(Copyright 1977)
- Refrain :
- Prends ma couronne, je te la donne
- Au ciel n'est-ce pas, tu me la rendras (bis)
- Bonne Marie je te confie
- Mon coeur ici-bas
- 1
- Le plaisir passe, comme un torrent
- Mais rien ne lasse un coeur fervent.
- 2
- Sous ton empire, pour moi si doux
- Fais que j'expire à tes genoux.
- 3
- Je vois le monde autour de moi
- Sa fureur gronde je cours vers toi.
- PROMENONS NOUS
DANS LES BOIS
Parlé :
- Loup y'es tu ?
- Non!
- Que fais-tu ?
- Je mets mets chaussures.
Au refrain
Prom'nons nous dans les bois
Pendant que le loup n'y est pas!
Si le loup y'était, il nous mangerait
La chanson continue pendant que le loup s'habille
- Je mets ma culotte
- Je mets ma chemise
- Je mets mon chapeau
- Je mets mon manteau
etc...
Dernier couplet
Parlé :
- Loup y'es tu ?
- Oui, je prends mon fusil!
- Au secours !
Les enfants se sauvent et le loup essaye d'en attraper un :
- Je suis loup qui te mangeras
- Je suis biche, je suis biche qui me défendra
Dernier refrain :
Prom'nons nous dans les bois
Pendant que le loup n'y est pas!
Si le loup y'était, il nous mangerait
Comme il n'y est pas, il nous mang'ra pas!
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