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- Nés pour
apprendre... 7 pages
« J'apprends... donc je suis » ne
prend pas de rides !
L'étude
de la neurophysiologie cérébrale souligne
le fait que nous sommes
"nés pour apprendre" et que le rôle "des autres"
est de nous révéler notre propre potentiel
d'apprentissage, c'est-à-dire les
potentialités de mise en relation que nous
possédons en tant qu'être vivant... avant
même de naître.
À partir de là, deux
scénarios d'identité sociale sont
envisageables selon les atouts ou handicaps sociaux et psychologiques
de chacun : celui de l'homme en
miettes qui s'enferme dans un savoir : "enfoncez-vous ça dans la
tête"; celui de l'homme
polymorphe qui trouve son identité dans la
multiplicité des rôles et le renouvellement continu,
profite des situations même contradictoires pour apprendre et
augmenter son autonomie.
- La
lecture de livres divers et notamment ceux
d'Hélène Trocmé-Fabre, universitaire
rochelaise, cités dans la bibliographie ont largement servi
pour réaliser cette chronique.
De
nos jours, l'évolution
des sciences et des techniques donne une grille de lecture du monde
changeante, on comprend mieux l'avertissement d'Alvir Toffler : « l'illettré de demain ne sera pas
celui qui n'a pas appris à lire, mais celui qui n'aura pas
appris à apprendre » (La Troisième vague, Gallimard, 1988).
- Les nouvelles technologies rejettent actuellement
ceux qui sont dans la deuxième partie de leur vie
professionnelle si la formation continue en entreprise ou la
capacité à apprendre seul, n'a pas
été mise en oeuvre. Ils sont professionnellement
vieux à 40/45 ans.
- Alors
qu'ils restent hautement compétents s'ils ont appris
à apprendre car leurs savoir-faire techniques sont
nécessaires à la réussite de
l'application des technologies nouvelles
(automatisation, informatisation).
«
La véritable formation aujourd'hui consiste à
« apprendre à
lire le livre de l'environnement, le livre des autres et le livre de
soi-même ».
Et à la faire et la refaire sans cesse, même (et
surtout) par ceux qui se disent et pensent être des "docteurs
es...".»
Plusieurs logiques coexistent dans l'Univers ou nous habitons. Pour
comprendre la personne dans son itinéraire, pour la suivre
dans son parcours de vie, pendant lequel elle se construit, instant
après instant, jusqu'à la mort, nous avons besoin
d'interroger la vie, d'entendre et de suivre les leçons de
la "logique du vivant" F. Jacob.
-
Cette logique du
vivant recouvre plusieurs logiques, celles des différents
cycles qui ont contribué à faire de nous des homo
sapiens, au cerveau pluriel, triple et unique à la fois.
- Elle introduit tout naturellement les concepts
d'évolution et de structuration. Elle les place au coeur de
notre apprentissage, car il s'agit bien d'organisation :
- organiser l'interaction de la personne et de
l'environnement ;
- organiser l'interaction de la personne avec
elle-même et avec les autres ;
- organiser l'interaction de la
pensée et de l'action, l'interaction des émotions
et de la pensée, etc...
« Parler de " structuration ", c'est :
- souligner que l'acte d'apprendre interpelle l'organisme
dans sa totalité.
- rappeler qu'apprendre est un processus de transformation.
- insister sur le fait que l'acte d'apprendre remplit aussi
une fonction de croissance et de développement.
- rappeler qu'apprendre intervient dans la durée.
L'acte
d'apprendre assure
la continuité, s'inscrit dans l'histoire de la personne qui
n'est que le fruit de ses "apprentissages
biographiques".Les étapes correspondent aux
endroits et aux moments favorables ou s'actualise la
potentialité de la personne.
-
Les deux mots "actualisation"
et "potentialisation"
sont inséparables. Ils représentent notre
réalité d'êtres vivants, celle de nos
oscillations entre deux polarités et la loi naturelle
à laquelle nous sommes soumis, et qui, lorsqu'elle est
inconnue ou ignorée, est à la source de bien des
erreurs de prise en charge....»
«
Les grandes
leçons de la logique du vivant, des sciences de la nature et
de la systémique, permettent de repérer dix
mots-clés, qui représentent le
fonctionnement de base de notre cerveau en tant que "structure
apprenante". Les dix actes
fondamentaux de la vie cérébrale et mentale sont
les verbes contextualiser, décoder,
sélectionner, s'auto-structurer, décider,
adapter, échanger, comprendre, intégrer et
communiquer.
- Ces
mots-clés marquent les dix étapes
que nous franchissons lorsque nous "apprenons", en interaction avec
l'environnement, en obéissant à la triple loi de
fonctionnement des systèmes : régulation.
adaptation, évolution.
- À ces dix
actes correspondent les aptitudes de
base, des savoir-faire biographiques qui s'inscrivent dans notre
histoire individuelle, dans un ordre logique : celui de
l'évolution, de la croissance, du développement
du vivant. »
- La relation
soignant-soigné : une
progression vers l'autonomie
- La relation
soignant-soigné ne peut rester
figée dans un seul type d'échange, comme c'est le
cas trop souvent (le soignant qui n'a reçu qu'une formation
instrumentale axée sur l'hygiène, bute sur les
comportements adaptés pour des soins de santé).
- Le soigné exprime souvent, de
façon pressante, la demande de soin-médicament...
Il pratique en quelque sorte, "la
vente forcée" , "vends-moi
ton savoir" dit-il au soignant.
- Ou bien, à l'inverse on observe des
pratiques "d'achat forcé",
lorsque le soignant, soucieux d'être efficace dans sa
fonction "apostolique" (Balint), apporte des réponses
à des questions qui n'ont pas encore
été posées... ni même
conçues par le soigné.
- S'il n'est pas question
d'ignorer ce qui sous-tend la
demande de soins-médicaments chez le soigné
(notre cerveau a besoin d'automatismes qui le rassurent, de rites...)
il s'agit, pourtant, d'éviter avec vigilance les multiples
risques d'enfermement dans la maladie, dans l'existant, le
déterminé..., tout ce qui s'oppose à
la vocation du vivant d'être innovant et "en devenir".
- Un projet
éducationnel ne peut réussir que si tous les
partenaires y contribuent et en retirent un
bénéfice.
- Il est la résultante des
interréactions entre tous les partenaires. Le travail
centré sur la tâche au lieu de la personne, ou
taylorisation, conduit à l'échec.
- La relation est à établir dans
une progression vers l'échange, ou chacun émet et
reçoit, pour que se réalise l'oeuvre commune.
- Le rôle du soignant est donc
d'accompagner la personne dans sa découverte de
l'environnement, de ses propres capacités
d'échange avec cet environnement ; dans son parcours vers
l'autonomie, c'est-à-dire, vers le moment ou il sera capable
de se gérer lui-même.
- Cela implique de travailler sur le long terme, de
comprendre qu'au-delà de nos actions quotidiennes, qu'en
amont de tout objectif, il y a notre représentation de la
finalité (un point d'appui, un "pourquoi",
une philosophie du projet) qui appartient au long terme et qui
constitue une référence durable à
laquelle, malgré leurs différences, il est
possible aux différents acteurs d'adhérer et donc
de communiquer dans son sens étymologique : construire
ensemble.
- Mais l'autonomie ne se donne pas, elle se prend. Le
soignant ne peut mener la personne qu'au seuil de son autonomie,
c'est-à-dire au seuil d'elle-même.
L'accompagnement doit s'organiser vers ce but, et le soignant doit
savoir ne pas aller trop loin : aider mais ne pas faire à la
place. La compréhension, l'intégration, et la
communication, dans le sens le plus large, appartiennent à
la personne et échappent au soignant.
- Toute personne
une fois hospitalisée vit une expérience, fait un
apprentissage biographique nouveau. Que ressent-elle ? La modification
de l'espace et du temps...
- « La
santé se définit positivement - par opposition
à la simple absence de maladie - comme un
équilibre dynamique qui témoigne de la
capacité de la personne à s'adapter physiquement,
mentalement, socialement, spirituellement à son milieu et
à modifier ce milieu en vue de promouvoir son
bien-être.»
- La maladie vue à partir de cette
définition... un "équilibre
dynamique" : jamais acquis, comme la marche...
- La maladie : l'équilibre est rompu...
« Il est tombé
malade"
- il a perdu l'équilibre... la "capacité à s'adapter"
physiquement, mentalement, socialement, spirituellement à
son milieu.
- La personne malade devient « inadaptée". Qui peut
se dire en pleine santé ? Les frontières ne sont
pas toujours aussi nettes.
- La personne malade perd la "capacité
à modifier ce milieu en vue de promouvoir son
bien-être."
- La personne malade
ne modifie plus rien ou pas grand chose.
- C'est elle qui est modifiée dans les
racines de son humanité du fait de son hospitalisation qui
modifie son territoire de vie et la gestion de son temps.
- La maladie et l'espace-temps...
- La modification de l'espace-temps touche
à quelque chose d'essentiel de l'existence humaine. C'est,
en effet, l'espace et le temps qui nous constituent en tant que
créatures humaines.
- Le
TEMPS
- La maladie arrive...
- « C'est
arrivé le ... »
- Rupture. Coupure avec le travail la routine, le
fonctionnement, l'activité... Vide que certains ne
rencontrent que lorsqu'ils sont en « arrêt
» de travail en arrêt-maladie, en arrêt.
En stationnement sur une voie de garage...
- Arrêt douloureux... C'est un point de
repère...
- « Avant
mon opération... Après... Depuis...
»
- Quand on vous annonce ce que vous avez : l'avenir
s'enroule soudain, comme un tapis qui vient vers vous...Tout se
concentre sur le présent.
- « Je vis
au jour le jour... »
- Or, vivre en adulte, c'est-pouvoir se situer dans
son histoire, relire son passé afin d'anticiper sur le temps
qui vient, pré-voir... voir à l'avance... Et
voici que ce qui rythmait le temps se ralentit, et même
s'arrête... Plus de projets. Sentiment d'être exclu
de la vie normale...
- « Je suis
arrêté pour deux mois... »
- Voie de garage, tandis que les TGV de vie normale
continuent de passer. Soudain on dispose de ce qui manquait le plus
auparavant : du temps...
- « Je
trouve le temps long... »
- Commence, en effet, le temps des attentes. Le
malade attend... tout : soins, repas, visites... Salles « d'attente »...
- Le temps est long ! Soirées seul...
jusqu'au silence relatif qui vous permet de vous assoupir... Et la
nuit, heure après heure...
- L'image qu'elle a d'elle-même est
perturbée, voire brisée... Sensible, à
vif...
- Stoppée net, la personne malade a du temps
et elle rumine : le passé défile pour se
protéger, pour fuir ce présent qui l'angoisse. Et
il en est qui remontent dans le passé, qui
régressent...
- La situation couchée, le nursing, les
soins corporels, le fait d'être touchés,
langés, nourris... beaucoup de choses les y incitent.
- « Ça
me fait du bien...»
- D'autres cherchent à maîtriser
l'avenir : ils veulent savoir ce qu'ils ont, ce qu'on va leur faire, le
pronostic... Incertitude : curable ? Séquelles ?
- Comme pour se repérer dans leur histoire,
dans « Cette sale
histoire...», les personnes malades racontent,
reprennent pour la nième fois le récit de ce qui
leur est arrivé.
- Immense besoin d'être
écouté. Longuement... parce que les
repères du temps sont bouleversés.
- L'ESPACE
- Lui aussi se rétrécit : l'homme
en bonne santé se déplace, va où il
veut, fait ce qu'il veut, évite qui il veut...
- À l'hôpital : livré
à l'équipe soignante... À la merci des
visites... Bloqué dans une chambre. Expérience
carcérale (vêtements) ... Coincé,
lié par les perfusions, sondes... En marge de la vie qui
continue au-delà des fenêtres... Exclu...
(Importance du téléphone, cordon ombilical qui
relie à la vie.)
- L'espace peut encore se
rétrécir et se limiter au lit : vivre
couché, sur ce carré de drap avec une
alèse en caoutchouc. Dépendances : sonner pour
avoir le bassin, parce qu'un objet est tombé par terre...
- Espace réduit à son corps : on
est son corps, toujours présent. Expérience du
corps dépouillé de ses vêtements pour
l'opération, par exemple... Exposé au regard de
tous... Dans cet espace réduit aux ultimes limites :
expérience de la solitude... Que ce soit seul dans une
chambre, ou à 2 ou 3 !
- On est seul devant ce qui vous arrive, devant son
avenir...
- Découverte de sa
précarité : on n'est seulement un parmi d'autres,
quelque part... « Je suis mortel... » car la
maladie est toujours signe avant coureur de la mort où le
temps s'arrête.
- « Mourir
c'est sortir de l'espace et du temps... » Deschamp
- Comment la personne va-t-elle "
apprendre " l'institution ?
- La première
étape sera son aptitude
à " savoir-observer "
: utiliser ses capteurs sensoriels, ses yeux, ses oreilles, son corps
pour repérer le monde qui l'entoure et être en
mesure de "contextualiser".
- À ce niveau, le terrain d'apprentissage
sera tout ce qui lui permet d'entrer en relation avec le monde physique
: les formes, les couleurs, les dimensions, les textures, les
distances, les sons, les odeurs, les goûts, les associations,
les relations, les nuances....et les combinaisons de toutes
sortes.
- La deuxième
étape sera de savoir
reconnaître les normes du contexte dans lequel elle vit :
savoir lire la complexité des autres et des lieux.
- La troisième
étape sera une
étape d'organisation : savoir-comparer, trier, classer,
sélectionner...
- Notre cerveau est une structure anatomiquement et
physiologiquement sélective : il est fait pour choisir. Il
faut entretenir cette aptitude et cette fonction ...
- À l'opposé, "l'hypertrophie du savoir-organiser "
résulte dans l'organisation à outrance, une
généralisation tout aussi
réductrice... puisqu'elle nie la diversité du
vivant. C'est ce que dénonçait Flaubert lorsqu'il parlait de
notre « rage de conclure».
- La personne a besoin
d'ancrer les connaissances qu'elle a
recueillies dans sa propre expérience, c'est la
quatrième étape.
- Personne d'autre qu'elle ne peut apprendre
à sa place, ni comprendre, ni rattacher ce qu'elle vient
d'apprendre à ce qu'elle sait déjà.
C'est à elle qu'il revient de créer du sens, de
s'auto-structurer.
- Cette étape est celle du
savoir-interpréter : savoir donner un sens à
partir de ce qu'on est, de ce qu'on a été, de ce
qu'on veut être.
- C'est l'espace-temps nécessaire pour faire
émerger le sens.
- Ces quatre étapes
permettent le couplage de la
personne à l'environnement. Les suivantes permettront
à la personne de s'approprier ses découvertes,
ses nouvelles connaissances.
- Ensuite viendra
l'appropriation et la décision de choix, la
création. Créer dans la perspective
d'échanger, entrer en relation.
- Les pièges
à éviter
à ce niveau sont les nombreuses manifestations de l'axe
donner-recevoir : trop donner sans recevoir, ou, au contraire, trop
recevoir sans donner
- Pour F. Jacob,
l'organisme qui gagne en autonomie doit étendre ses
échanges avec le dehors, et il faut, pour cela, que se
développent non seulement les structures qui lient
l'organisme à son milieu, mais aussi les interactions qui
coordonnent les constituants de "l'organisme". L'autonomie se construit
donc par un travail en-dehors et au-dedans.
- L'autonomie de la
personne se manifeste, se
structure par trois savoir-faire qui sont, hors de portée du
soignant.
- le "savoir-comprendre",
c'est-à-dire la capacité à entrer en
relation, à construire l'échange, à
réfléchir, à renvoyer l'image,
à entrer en résonance ;
- le "savoir-intégrer",
c'est-a-dire accueillir, englober, ce qui exige un sens profond de
l'ensemble, de la globalité du réel, quel qu'il
soit, et du temps favorable, du moment juste ;
- le "savoir-communiquer",
qui représente le savoir-Être avec une majuscule.
Seule la personne est aux commandes. « Si je ne suis pas moi, qui le sera ?
» Hillel l'Ancien.
Mettre en place les
étapes de
l'accompagnement de la vie
- Les nombreux projets " d'humanisation
des locaux ", qui
ont pourtant mobilisé beaucoup de moyens ont
échoué. Ils ont échoué car
aucune réponse n'avait été faite
concernant la finalité : " humaniser
les soins ".
- Car nous sommes nés pour apprendre ;
absorber des médicaments n'est qu'un
épiphénomène.
- Les solutions à court et moyen terme ont
besoin, pour durer, d'un axe, d'un souffle, d'un "long terme", sur
lequel se structurer.
- Mettre en place les étapes de l'accompagnement
nécessite que les différents partenaires
s'interrogent sur leur propre finalité et qu'ils
renouvellent (qu'ils "déblaient") leurs concepts de base :
apprendre, comprendre, évaluer, réguler, adapter,
structurer. aider...
- Ceci nous mène à une
interrogation au sujet de notre propre système de
représentation et de notre propre système de
valeurs.
- Que nous en soyons conscients ou non, que nous
acceptions l'idée ou non, nous nous appuyons constamment sur
notre propre vision du monde et de l'homme.
- Les difficultés viennent souvent de ce que
nous ne pouvons pas faire l'économie de la
réalité : celle-ci à qui nous nous
adressons est, comme nous, un être en devenir.
C'est-à-dire en marche.
- Cela signifie que les différents
acteurs soignants doivent, pour atteindre et maintenir leur
équilibre, obéir aux lois des systèmes
: la personne soignée, le soignant, l'institution...
ont constamment à résoudre des
problèmes de régulation, d'adaptation et
d'évolution. L'un des tout premiers rôles
à remplir par les partenaires est donc de comprendre que
l'on ne peut rien guérir, on ne peut que donner les moyens
d'apprendre jusqu'au bout de la vie.
- Les soignants ont un rôle de
médiation, mais l'escalade de la vitesse et
l'exigence de l'immédiateté, du
résultat tangible, visible, mesurable... laissent bien peu
de place à l'intervalle, à la transition,
à la prise de recul, à l'anticipation,
à l'objectivation, au questionnement. Deux axes sont
indispensables pour construire la médiation :
l'aménagement du temps et l'aménagement de
l'accompagnement.
- Les temps à aménager n'ont
pas grand-chose à voir avec le temps de l'horloge... C'est
d'un autre temps qu'il s'agit. Le temps dont il s'agit ici, c'est le
temps juste, le moment favorable. Il serait plus exact, d'ailleurs, de
parler de durée, car la notion de durée recouvre,
mieux que la notion de temps, la temporalité du vivant, la
vitesse métabolique de nos cellules. La durée n'a
rien a voir avec la vitesse technologique de notre civilisation
contemporaine. Elle est l'une des composantes de la cellule.
- « Nous
sommes durées. Nous sommes mémoires. Nous sommes
pluriels. » H. Trocmé-Fabre