Pour la plupart des résidents, le
fait d'apprécier la nourriture et le moment du repas
influence de façon majeure la qualité de vie.
L'impossibilité de préparer soi-même
ses repas selon ses propres goûts et de manger à
une heure choisie, peut provoquer un appauvrissement de l'alimentation,
une perte de poids et de la tristesse. La malnutrition, lorsqu'elle est
la conséquence d'un manque de communication,
révèle une prise en charge médiocre.
La correction précoce de ces problèmes de
communication, lorsque ceci est possible, peut prévenir une
malnutrition.
- La salle à manger permet-elle
aux résidents une bonne "socialisation" ? Est-ce un endroit
où les relations peuvent facilement s'établir ?
- Y-a-t-il eu une
défaillance dans la mise en place d'un personnel
adéquat ou dans l'aménagement des horaires de
repas afin d'aider les résidents à manger ?
- Y-a-t-il eu une
défaillance dans l'évaluation des besoins et dans
la mise à disposition d'équipements
adaptés aux résidents qui auraient pu ainsi
conserver une certaine autonomie pour manger ?
- Le résident peut-il parler aux
membres du personnel des problèmes qu'il rencontre
à propos de la nourriture servie, p. ex., s'il ne la trouve
pas appétissante ou mal présentée ?